Alessandro Michele poursuit son oeuvre engagée l’an passé, creuse son sillon et nous présente une collection hallucinogène teintée de romantisme, de philosophie et de puissance. Pas cette puissance érotique des années Ford ou celle de business de Frida Giannini, une puissance faite de l’inspiration venue des années 70, époque bénie ou Gucci étendait sa suprématie du luxe aux Etats Unis notamment. Puissance aussi car il faut avoir confiance en soi pour porter le nouveau Gucci qui se veut aussi philosophe. Car le vêtement doit permettre de s’interroger sur la pièce de vêtement audelà de son utilité première de se protéger […]
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